Octopus n°55 : Juin/Juillet 2005
Dans cet article du magazine Octopus numéro 55, nous avions effectué un test du compact Sony DSC-P150 avec son caisson.
Voici le début de l'article :
"Dans l’article précédent, nous avons abordé la photographie d’ambiance avec un compact et l’utilisation d’un filtre orange avec un appareil numérique. Aujourd’hui, nous allons vous proposer nos impressions concernant le compact numérique Sony DSC-P150. Dans la seconde partie, nous aborderons la photo numérique sous-marine en Bretagne. LE COMPACT SONY DSC-P150. Sorti en juillet 2004, le Sony DSC-P150 est un véritable 7 mega pixels construit en aluminium équipé d’une optique Carl Zeiss avec un zoom optique de 3X. Nous avons eu l’occasion de le tester en sous-marin dans son caisson dédié Sony durant un voyage à Bonaire dans la Caraïbe.
Quelques caractéristiques techniques du boîtier :
Les focales en équivalent 35 mm vont de 38 à 114mm. La batterie « longue vie Stamina » permet de réaliser jusque 320 photos sans recharge. En résolution maximale, les photos peuvent atteindre une taille de 3072 par 2304 (capteur au format 4/3). Ce format 4/3 est parfait pour des projections sur une télévision. Mais il est possible de débrayer la résolution en 3072 par 2048 : le format est alors ramené à 3/2. Ce format est idéal pour l’impression de photos au format 10 par 15cm ou plus.
Quelques caractéristiques techniques du caisson Sony :
Pour effectuer les tests du boîtier sous l’eau, nous avons utilisé le Sony Marinepack MPK-PHB (il peut être aussi utilisé avec le DSC-P100). Le caisson fabriqué en plastique, acier inoxydable et verre, est utilisable jusqu’à une profondeur de 40 mètres. L’étanchéité est assurée par un joint torique dont l’entretien est très facile.
Seulement quelques secondes sont nécessaires pour insérer l’appareil dans le caisson et vérifier l’étanchéité de l’ensemble. Aucune vis n’est nécessaire pour assurer le maintien de l’appareil. L’ensemble tient largement dans la poche d’un gilet de stabilisation. Pour son entretien, il suffit de le faire tremper 15 minutes dans de l’eau claire après chaque plongée en actionnant les boutons de contrôles pour évacuer le sel. A la fin de chaque journée de plongée, pour éviter tout risque, nous avons nettoyé et graisser le joint d’étanchéité." La suite dans l'article du numéro 55 de Octopus..."
- Écrit par Amar Guillen
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